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Your heart cracks

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AuteurMessage


Mildred A. de Brunehilde
Mildred A. de Brunehilde


▌Inscription : 21/05/2010
▌Messages : 7

WHO I AM ?
Once upon a time...:
Magie (3°): /
Points Année: 0
Your heart cracks _
MessageSujet: Your heart cracks Your heart cracks Icon_minitimeMer 17 Nov - 15:19











« Confidentiel ~ »





    « Mildred Audrina de Brunehilde »



      Âge ; 27 mai 1772, je suis née dix sept ans avant la révolution Française, et j'avais aussi dix sept ans lors de ma transformation en vampire.


      Signe Zodiacal ; Gémeaux

      Sexe ; Féminin


      Nationalité ; Française, mais ma mère était sans doute d'origine nordique, elle avait des yeux bleus magnifiques des cheveux encore plus blond que les miens.

      Race ; Mi demon Mi Vampire, pas tout a fait Expire, disons que je bois le sang humain comme tout vampire, mais je pourrais, de mon gène de démon, dès la quatrième année, tuer en rejetant mon sang dans le corps d'une victime.


      Orientation sexuelle ; Bi





    « Tell us something »


    You, you and you !


    Pseudo ; B M

    Code règlement ; ( Lis le règlement et tu sauras o/ )

    Code histoire ; ( Lis l'histoire et tu sauras o/ )

    Comment as-tu connu le forum ? ; ( Partenariat, pubs, top-site ? )

    Autres choses ? ; ( "C'est mon dernier mot, JP !" )








    « Caractéristiques ~ »






    Physique


    Je pense être de taille moyenne, vu que j'étais grande pour l'époque. Au pas très grande non plus, disons que j'avais une bonne taille, et qu'aujourd'hui, je suis plus petite que bon nombre de personnes, mais ça va, je ne me plains pas.
    J'ai de très long cheveux blond, le blond des fillettes, pas vraiment platine, mais pas très loin. Ils sont aussi long, brillant et parfaitement soignées - merci à ma nature de vampire -. Mais yeux, en temps normal sont bleu, foncé, légèrement vert. Quand mon pouvoir démoniaque se présente, où dès que je m'apprête à boire du sang, mes yeux virent au rouge en passant par toutes teintes de violet.
    Comme à l'époque où j'étais mortelle, la mode était au femme ronde ce qu'elle est aujourd'hui aux femme minces et sans formes, j'ai un corps en bouteille d'orangina. Les hanche larges, des formes bien rondes, sans qu'aucun os ne puisse montrer le bout de son nez. A la mode des femmes d'avant.
    Coté vestimentaire, c'est là que je ne passe pas inaperçu. Je suis toujours restée plus ou moins intemporelle, et mes tenues aussi. Je ne porte que des robes soigneusement cousue, faîte de dentelles de jupons, de tissus plissé sur les hanches, de bustier à lacet. On complimentait mes tenue le jour de Mardi gras, on me trouvait étrange tout les autres jours. Je n'ai jamais pu porté de pantalon, où de t shirt... Juste des robes, belles et en général, très chère. Ces derniers temps, on trouvait des robes de style gothic lolita ... Je les aimes bien, mais la qualité est médiocre ... Pourtant je n'ai plus vraiment de choix à cette époque.





    Mental


    Je ne suis pas un bonne, ou une mauvaise vampire. Je me situerais entre les deux. J'aime le sang humain, je regrette jamais mes meurtre, mais je ne prends pas de plaisir à tuer. Je me nourris quand j'ai faim, et puis voilà. Je ne suis pas sadique, je ne pense pas, mais simplement un peu irritable. Il m'arrive d'être méchante, comme ça par envie, une sotte d'humeur. C'est généralement liée à ma nature de démon, mon agressivité n'arrive qu'avec mon pouvoir, que je ne contrôle pas. J'ai sans cesse leur morne, et mélancolique. Ce n'est pas qu'une impression, je le suis, et le serais éternellement. A jamais triste. Je ne sais pas vraiment pourquoi, sans doute à cause du manque d'amour maternel. J'ai beaucoup de mal à vivre avec le temps qui passe de toute façon, bien que les année Hippie furent amusante, le reste restait d'une banalité étouffante.
    Je ne me dirais pas asociale, je vais volontiers vers les autres, mais la solitude de me déplais pas non plus. Je suis franche quitte à blesser les gens et d'une désinvolture rare. Je me fiche des autres, de ce qu'ils peuvent penser. Je suis sans doute un peu égocentrique, je le sais, et je le vis bien.


    Manies & loisirs


    Elle est maniérée, ne peu pas supporté de voir un vêtement mal mis. Elle a gardée son éducation de noble et reste toujours polie avers quiconque.
    La lecture, et sans aucun doute la musique classique.









    « Le passé, le présent et l'avenir ~ »





    « La vie mérite d'être vécue »


    Story


    21 mars 1789.

    Rien n'était plus agaçant que les cours de bonne manières que me donnait ma belle mère. On ne pouvait pas dire qu'elle m'aimait comme une vrai mère, non ça serait mentir, bien sur. Mais elle tenait à moi, sans doute un peu plus que mon père... Non je suis sévère au sujet des sentiments de Monsieur de Brunehilde, il n'était pas si dépourvu d'amour à mon égard, je restais persuadé qu'il résidait en lui assez d'attachement à moi pour qu'il puisse risquer sa vie pour la mienne. Où peut être prenais – je mes rêves pour des réalités. S'il m'appréciai, c'était surement à cause de ma ressemblance avec ma mère, et encore, serait il possible qu'ils se soient aimés un jour ? Les mariages de véritable amour n'existait pas dans ce bas monde. Tout n'était que profis.
    D'ici peut, je serais la conjointe d'un jeune homme, prétendant à être duc ou baron, ou à je ne sais quel poste prestigieux. Ce que je sais c'est que je ne serais pas liée aux Dauphins ... Le premier étant malade à se que l'ont dit, et le deuxième bien trop jeune. Et puis il ne fait pas bon en se moment d'être de la famille du roi, ni même d'être noble. Nous craignions de plus en plus de sortir en dehors de notre modeste château de crainte qu'un membre du bas peuple ne nous empale sur sa fourche en criant un air révolutionnaire. Il n'est pas bon de vivre au XVIII siècle en étant issus d'un sang bourgeois.




    4 mai 1789.

    Les gens sont de plus en plus remonté contre le roi. Je ne sors plus du château. La peur s'installe de plus en plus. Malgré ça, un bal a été organisé par nos amis, et j'ai été obligée de m'y rendre, ordre de mon père. Je savais très bien ce qui aller ce passer. Durant cette soirée j'allais rencontrer mon futur époux. Ma belle mère passa une heure, une très longue heure à coiffer mes cheveux blond pour que j'ai l'air magnifique aux yeux de cet homme. J'étais vêtue de la plus belle robe que je n'avais jamais mise. Une robe rouge intense avec quelques roses en tissus ça et là, de magnifique jupon se trouvaient dessous et la dentelle blanche dansaient au rythme de mes pas quand je marchais. La seule chose désagréable était le corsait qui était horriblement trop serré. J'avais beaucoup de mal à respirer, mais il était vrai que ma silhouette paraissait parfaite.
    Notre voiture était prête. Je mettais beaucoup de temps pour l'atteindre. Mes chaussures rouges me faisaient mal aux pieds et j'avais du mal à marcher avec. Il était bien difficile de respirer, pourtant j'allais devoir parler et respirer en même temps ... Le truc c'était de ne pas y penser. La voiture ce mit en marche, et je fermais les rideaux par peur de croiser le regard d'un membre du tiers état révolutionnaire. Le stress était bien présent, et le restera tout au long de la soirée.

    Les autres femmes me regardait avec admiration devant la belle robe que j'avais, et il fallait le dire, je l'aimais moi aussi beaucoup. On me présenta rapidement le prétendant à mon cœur. Il me parla de choses et d'autre, et je m'ennuya fortement de sa voix. Il n'était en rien le genre d'homme que j'aurais aimé de mon propre chef, mais je n'avais pas le droit de choisir ... Les filles n'ont le droit que de se taire, et de faire des héritiers aux familles. Il m'entraina à la danse. Je dansais mal comparé à lui, mais je n'avais aucune envie de m'appliquer, il ne m'inspirait aucune sympathie. Alors que la valse se terminait, une main étrangère prit la mienne. J'aurais accepté de danser avec n'importe qui pourvu que ce soit quelqu'un de plus passionnant que mon futur. Et là, je levais les yeux sur le propriétaire de la main blanche et froide qui tenait la mienne dans son étreinte; je constatais avec fascination qu'un jeune garçon, plus âgée que moi, au teint pâle des aristocrates se tenait devant moi. Lui aussi dansait bien, et arrivait à me faire danser presque aussi harmonieusement. Il était d'une beauté troublante, et il fallait le dire je ne restais pas indifférente devant lui. Lorsque la danse fut terminé, il me lâcha, me laissant seule, à la regarder partir de la salle. Je voulu le rattraper, mais cet idiot de prétendant, jaloux, me prit violemment le bras et ce fut partie pour une nouvelle valse. Je cherchais du regard le garçon avec qui j'avais dansé précédemment un moment, quand je me rendis compte qu'il n'avait en fait pas quitter la pièce et me regardait avec insistance. Je pense avoir rougie. L'homme avec qui je dansais – qui devait avoir dans les 25 ans – remarqua que le jeune homme aux mains froides me regardait. Je sentis son emprise sur moi se resserrer. Une fois la musique interrompu, il me lâcha et alla directement le voir. Il paraissait bel et bien plus jeune, plus proche de la vingtaine. Je me mis à les rejoindre, alors qu'ils quittaient la pièce, l'un remplis d'un fureur, l'autre arborant un magnifique sourire. Je savais qu'il ne fallait pas se mêler de ce genre d'histoire, mais je voulais absolument les rejoindre, quelque chose me disait que ça allait mal se terminer. Pourtant, je ne parviens pas à quitter le salon, ma belle mère s'y opposa corps et âme.
    Après quelques minutes, le jeune homme revint, et son teint semblait soudain plus foncé, mais je ne m'en souciait gère. L'autre homme ne revenait pas.
    Un cri ce fit entendre, un cri de peur, sur-aigu. Tout le monde couru vers en direction de ce cri. Moi je trainais un peu à cause de mes chaussures. C'est alors que j'aperçus le jeune homme ouvrir les portes fenêtres, s'avancer jusqu'à la balustrade et sauter par dessus, dans le vide, haut de deux étages. Je couru tant bien que mal vers ce balcon. Il avait disparut. Ma belle mère me rejoignit, me disant que mon prétendant était mort.


    14 juillet 1789.


    J'ai constamment l'impression d'être suivit, d'être surveillée surtout la nuit. Aujourd'hui, le peuple à mis au point une offensive et la prison de la bastille a été prise. Ils passent devant notre château, nous maudissant, mais ils n'ont encore rien tenté contre nous. J'ai peur. Je commence à me dire que j'aurais bien aimé que ma grand mère soit avec nous, elle avait un don étrange qui arrivait à faire que les gens qui s'aimaient habituellement se haïssaient. Elle avait quelque chose de magique, où j'étais la seule à y croire. Mon père la haïssait, non pas parce qu'il était son fils ou quoi que ce soit, non, juste parce qu'il n'aimait pas ce don, et ce qu'elle représentait. Pour lui elle était une sorcière, c'est pour cela d'ailleurs qu'elle a été brulée vive ... Je me souviens de ses cries alors que je n'avais que 4 ans.
    On m'a souvent dit que les membres de notre famille, ceux qui étaient rattaché à ma grand mère ce faisaient brulé à cause d'elle. Les gens les soupçonnaient souvent de magie noire. J'y croyais, je croyais en cette magie. Je pris en cet instant pour que personne ne trouve mon journal, dans le cas contraire je serais bonne pour le buché... Je n'ai aucune envie de mourir jeune.

    Nous étions le soir. Et nous avions entendue du bruit dehors. Ma belle mère s'était approché de la fenêtre. Un bruit sourd avait retendit. Un objet lourd était passé par le carreau, percutant la tête de ma belle mère. Son corps roula sur le sol. Un trainée rougeâtre la suivait. Son regard était fixe, et je ne pu supporté ses prunelles mortes très longtemps. Je me mis à courir en direction d'un sortie, la plus proche qu'il y avait. Il fallait sortir, et sans ce faire voir. J'avais peur. Jamais je n'avais couru aussi vite, en fait je n'avais pas l'habitude de courir. J'étais essoufflée, et certaines personnes étaient déjà à ma recherche dans la maison, ils ne tarderaient pas à me voir. J'apercevais l'écurie. Ils n'y avaient pas encore mis le feu. Mes cours d'équitations ne seront pas perdu finalement. Je pris le premier cheval qui vint, et monterais dessus à cru. Ça couleur noire passerait inaperçu dans la nuit, j'avais fait le bon choix. Je pris la bride, lui mis en vitesse et bientôt nous nous perdîmes dans la nuit. Les cries s'estompaient au fur et à mesure que le cheval galopait.
    Où aller ? Paris devait sans doute être dans le carnage le plus immonde. Je ne savais pas où aller, et la panique me submergea totalement. Pas Paris, et pourtant je me dirigeais droit vers elle, inconsciemment. A l'entrée de la ville on apercevait une lumière rougeâtre, et tout semblait chaotique. Je m'empressais de déchirer ma robe, de me décoiffer. Je ne devais pas paraître noble, sinon c'était la mort. Seulement je ne fus pas assez maligne pour me rendre compte que mon cheval parfaitement pansé en disais long sur ma lignée. Certains d'entre eux, femmes et hommes confondues se dirigeaient dangereusement. Le cheval prit peur, se cabrant. Prise par surprise je tombais à terre. Je voyais déjà leurs armes m'empaler violemment. Je fermais les yeux et serrais ma robe déchirée de mes mains. Je sentis un horrible déchirement au niveau de ma jambe et de mes bras. Ils criaient à la mort. Le sang s'étalait sur le sol, je souffrais comme je ne l'avais jamais fait. Et puis soudain plus rien, plus de coups, seulement des bruits de métal extérieur, des bruits de déchirement, des corps qui tombent à terre. J'ouvris subitement les yeux pour me rendre compte que j'avais en face de moi le garçon qui avait été coupable du meurtre de mon ancien futur époux. Il lâcha le bâton en bois recouvert de sang qu'il avait dans ses mains et me porta jusqu'à un autre endroit. Je sentais la mort arriver – j'avais perdu beaucoup de sang – et je ne sais même plus par où on était passé. Je sais juste que j'avais trouvé bizarre le fait que mon sauveur, enfin je pensais qu'il l'était, avait achevé les révolutionnaires à coup de bâton de bois.

    Il me lâcha dans un endroit sombre et je n'eus pas le temps de regarder au tour de moi que le garçon me mordit le cou pour absorber le reste de mon sang. Je ne sentais plus rien, j'étais affaiblie. Il aurait pu me tuer, je n'aurais pas réagis, je me voyais déjà morte. Mais il n'en fit rien. Je sentis un goût délicieux dans ma bouche, et puis cette courte impression de bien être juste avant la douleur suprême, et puis, plus rien ...



    5 avril 1812


    ... cela fait un moment que je n'ai plus touché à ce journal. Depuis le jour de ma mort à ce que je vois. A vrai dire je n'avais plus le temps de mettre par écrit ma vie. Ça ne sera sans doute plus autant utile. Oui je suis bel et bien morte, le 14 juillet 1789, mais alors pourquoi suis je toujours là, à écrire dans ce journal ? Je dois avouer que tout les évènements suivant cette mort me dépasses totalement. Je suis une vampire, une sorte de monstre de la nuit, buvant le sang des mortels. Le pire dans tout ça, c'est que je n'ai aucun scrupule à tuer. Je ne vieillis pas. Mon teint est naturellement blanc, et ma peau aussi froide et dure que la pierre. J'ai le corps d'une morte, mais sans l'être. Je suis aussi plus belle que jamais. J'aime ma situation de vampire, mais j'ai l'impression que je suis allée à l'encontre de la règle de vie en étant aujourd'hui immortelle, alors que j'aurais du mourir. Comme ma mère, mon père, ou même ma belle mère. C'est injuste.
    Je pleure chaque nuit en me réveillant, sortant d'un cercueil lugubre, me disant que vaincre la mort est possible, et que j'aurais pu de ce fait voir vivre ma mère... Mathieu, celui qui m'a rendu immortelle, essaie de me rendre le sourire, mais rien y fait. Je voudrais mourir, comme toutes nos victimes. Je vis dans l'ignorance, jamais je ne connaitrais une part de mes origines, jamais... Je restais dans cette certitude défaitiste depuis ma transformation. Une belle nuit Mathieu disparut, me laissant seule durant une semaine. A son retour, il trouva une adolescente au regard blafard et a la peau fétide. Sans lui, je n'ai plus aucune de continuer ma vie de vampire.
    Il avait dans ses mains une lettres et des cadres. Sur chacun des cadres se trouvaient des portraits de ma mère, parfois avec mon père. Il me tendis la lettre; mon prénom était marqué.
    « A ma Mildred bien aimée »

    Des larmes de sang roulaient sur mes joues. La lettre était un peu brulée, et l'écriture commençait à disparaître, mais le contenue restait lisible. Jamais je n'avais eu connaissance de ces paroles écrites. Elle me parlait de sa maladie, et au combien elle m'aimait. Elle savait qu'elle allait mourir, et qu'elle ne me verrait jamais grandir. Des mots reliées en phrase remplis d'une telle émotion que j'aurais pu pleurer tout le sang qui restaient dans mon corps mort. Rien sur ses origines. Mais la chaleur du papier suffis pour me redonner confiance. J'en remerciais Mathieu, et me remis à me nourrir correctement. J'avais eu ce qu'il me manquait le plus. La certitude que ma mère m'aimait.



    3 septembre 2010


    Je suis toujours vivante, et en bonne santé. Bien que je trouve ça tout a fait drôle, le coté étrange ne siège plus dans mon esprit. C'est tout a fait normal. Et puis il se passe des choses hors du commun depuis un siècle. Dès que je mord quelqu'un, je vois automatiquement un passé douloureux où ignoble. En fait ça arrive même sans morsures. Je vois des images de l'esprit des gens, mortel ou immortel. Mathieu ne comprenait pas pourquoi je voyais ses choses, et moi encore moins. Mais ça renforcé l'idée que j'avais que la magie existait bel et bien.
    Ces derniers jours, je sentais que ma vie d'immortelle devenait morne, et que la magie n'était pas assez présente. J'avais l'impression que ma place était ailleurs. J'en ai informé Mathieu, et je suis partie. J'ai quitté la France, et je suis allé en Allemagne. Mais cette sensation est de plus en plus vive. Ce soir, je marcherais longtemps, dans l'espoir de trouver une signification à cette sensation. Je me sens perdu, mais j'ai l'impression que je me rapproche de mon but. C'est dur à expliquer. J'ai l'impression que la vérité est ailleurs ...


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