|  Sujet: Elliot Andrews ♥  Dim 17 Oct - 10:37 | |
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| Libre - Réservé - Pris
Tout niveau de rp
• Age: 15 ans
• Signe Zodiacal: Capricorne
• Sexe: Masculin
• Nationalité: Américaine
• Race: Magicien
• Pouvoir - max 3-: One: Ouvrir des portes dimensionnelles. ce pouvoir lui permet d'envoyer des êtres vivant dans une dimension au hasard. C'est un pouvoir extrêmement difficile à maitriser, c'est pourquoi Elliot ne l'utilise pas souvent, surtout depuis qu'il y a envoyer son père, il se souvient encore à quel point il était vidé de son énergie. Il ne commencera sans doute à l'utiliser réellement lors de la 3eme années, voir de la 4eme.
Two: Parler au animaux. Elliot peut communiquer librement avec les animaux, mais il peut surtout les calmer, les rassurer. C'est un pouvoir qu'il a souvent utilisé à l'arrivée de ses nouveaux animaux de compagnie pour dédramatisé leur trajet en voiture, qui les paniquait bien plus qu'autre chose. Il l'utilisait aussi pour approcher des animaux sauvages, par exemple au zoo.
Three: Les champs de force. Il peut créé des champs de force, uniquement pour ce défendre. La chose qui essaye de traverser le champs de force est immédiatement brulée. En général le champs de force d'Elliot reste constamment, plus ou moins activé, c'est pour ça que quand on s'approche de lui, il fait généralement plus chaud qu'au alentour.
Spécialisation 2° année: Transformation en oiseau (au choix)
• Orientation sexuelle: Hétéro
• Année: 2° année
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Antisocial - Confiant - Persuasif - Aimable - Gentil
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Des bruits de roulement c'était intensifier. La roue allait de plus en plus vite, parfois elle ralentissait, ça dépendait de sa forme. Le petit hamster jouait avec à la même heure, tout les jour, et c'était une heure qu' Elliot détestait. Il faisait déjà sombre, si sombre qu'il ne voyait pas le bout de la pièce. Il n'aimait pas allumer la lumière, l'énergie électrique, c'était trop précieux pour être utiliser comme ça. Il restait dans un coin de sa chambre, entouré de peluches en forme d'animaux sauvage, pratiquement tous en voie de disparitions. Des bruits de pas venaient se joindre au bruit de roulement du joué du petit rongeur. Ces bruits de pas, Elliot les détestait, et la personne qui les faisait le savait bien, mais ne voulait pas se l'avouer. Une lumière vive entra dans la pièce. Une femme passa la tête dans la chambre, tentant de voir où pouvait bien se trouver l'enfant. C'était sa mère, une femme pas très grande, rousse, aux cheveux long, et d'une extrême gentillesse. Les enfants l'adoraient, enfin les enfants normaux. Elliot la détestait, et détester toutes les autres personnes. Elle l'appela. C'était l'heure de manger. Il ne bougea pas, et la mère n'en fut pas surprise. C'était la même chose depuis sa naissance. Il n'avait que 5 ans, mais il avait malheureusement bien la tête sur les épaules, et savait exactement se qu'il fallait faire pour la mettre en colère, ou pour qu'elle cède facilement. Elle soupira, et entra dans la chambre en prenant garde de ne pas se faire mal sur quelque chose. Elle n'avait pas allumer la lumière, elle savait que ça ne ferait que l'énerver, et elle n'avait pas besoin de ça. Elle se mis assise sur le sol pour parler à son unique enfant. Elle essaya de le convaincre de la suivre, mais cette fois là, il ne répondit rien. Face à cet enfant muet, la jeune mère se leva, désemparée. Elle ne pouvait rien faire pour le forcer à venir manger, la dernière fois qu'elle avait fait ça, Elliot avait agis bizarrement et avait fait vraiment peur à sa mère. Mais cette fois, ça ne se passerait pas tout à fait pareil. Le père, qui commençait à s'impatienter arriva dans la chambre et alluma la lumière. Le jeune garçon ne disait toujours rien, à la grande surprise de la mère. Le père était un peut plus grand que la mère, et brun. Ça voie était beaucoup plus autoritaire que celle de sa mère. C'était le genre de père autoritaire qui ne tolérait aucune faux route de la part de son enfant. Après avoir vivement gronder son fils, et n'avoir observer aucune réactions, l'homme commença à prendre son enfant violemment par le bras. Elliot prononça une phrase, une seule phrase d'un ton neutre qui avait fait pâlir la mère. « Lâche moi » Sans aucune intonation, rien, ça phrase était tout à fait normale, mais il était sûr de lui. Le père, malgré qu'il fut légèrement choquer de la réaction du garçon continua à le « trainer » en dehors de la chambre. Elliot décida alors que s'en était assez et se mis à marcher. Le père, tout heureux de sa réussite félicita son fils pour sa bonne conduite, mais la mère trouvait ça bizarre, et elle avait raison. Elliot mis sa main sur le bras de son père de façon très violente, au même moment une lumière légèrement bleutée avait envahi la chambre et semblait venir du garçon. Elliot avait utiliser pour la première fois son pouvoir sur un être humain. Il avait envoyer son père dans une autre dimension. Il ne savait pas encore les créer de lui même, mais il savait ouvrir leurs portes. La mère, paniquée demanda à Elliot se qu'il avait fait. Il alla de nouveau s'assoir avec une peluche dans les bras, en disant simplement de ne pas s'inquiéter. La mère faisait confiance en sont enfant, mais ne pouvait s'empêcher de paniquer. Elliot n'était pas méchant, loin de là, il ne supportait qu'on s'oppose à lui, c'était tout.
Elliot avait 15 ans, tout le monde savait qu'il était pas vraiment comme les autres, mais personne n'osait rien dire, rien faire, ils avaient trop peur. Il déprimait, et jours après jours plus rien n'allait. Il ne sentait vraiment pas bien, mais plus que d'habitude. Il sentait que quelque chose n'allait pas. Il rentra chez lui, passa la porte de sa chambre, la referma, et posa son sac de cours. Il s'allongea sur son lit, et regarda le plafond, puis s'aperçut qu'une forte lumière bleue avait envahie la pièce. Une porte dimensionnelle c'était ouverte, sans qu'il ne s'en rende compte. Il tenta de la fermer, mais il n'y parvenait pas. Il en conclu que c'était pas lui qui l'avait ouverte, et fini par se décider à la traverser, pour découvrir un monde merveilleux, où il se sentait bien ... Le monde magique
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Saora Sant Millin
Ce sont des connaissances. Ils se croisent souvent dans les couloirs, s'échangent des regards. Parfois Saora daigne lui adresser la parole (ce qui est plutôt rare quand on connait la jeune fille). On peut dire qu'Elliot l'apprécie, elle et surtout son fidèle énorme loup blanc. Car oui, Elliot avait réussit à apprivoiser cet animal qui d'habitude ne se laisse jamais toucher par d'autres personnes que Saora. Ce loup est donc, on peut le dire, le lien qui unit ces deux âmes.
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